« J’aime jouer et chanter avec les gens ».
Pour Jérémy Frerot, qui a abordé sa trentaine il y a quelques petites années, la musique est synonyme de partage. En a témoigné, jusqu’en 2017, la folle aventure des Fréro Delavega. Puis il y a un repli, celui du premier album solo, Matriochka, où le musicien a laissé libre cours à ses penchants contemplatifs et aux expérimentations électros. Puis Meilleure vie, où Jérémy a souhaité s’éloigner des pulsions mélancoliques de Matriochka et lâcher prise.
« J’avais envie de dire ce qui me passait par la tête. Ne plus prendre quatre chemins, ni proposer une double lecture. Que les mots soient simples.»
Pour ce, il a fallu revenir à l’acoustique, rajouter de la basse, de la batterie, et convoquer le groove ! Celui qu’écoute et aime Jérémy : de Jorja Smith à Still Woozy, de Mac Miller à Ben Harper.